Georges ROBIN
L’année 2010 est une année importante sur le plan mémorial puisqu’elle offre à tous les français de commémorer le 70eme anniversaire des combats de 1940, de l’appel du général de gaulle du 18 juin, de la naissance de la France libre et des premiers pas de la résistance.
Georges ROBIN a 25 ans au début de cette deuxième guerre mondiale. A cet age, il est tout désigné pour partir combattre. Au 11 eme chasseur, il participa à la drole de guerre puis aux combats à partir du 10 mai 40. Fait prisonnier sur le front puis evadé 2 fois , il réussira avec brio et courage ,en se cachant de l'ennemi, à revenir chez lui .
L’année 2010 est une année importante sur le plan mémorial puisqu’elle offre à tous les français de commémorer le 70eme anniversaire des combats de 1940, de l’appel du général de gaulle du 18 juin, de la naissance de la France libre et des premiers pas de la résistance.
Georges ROBIN a 25 ans au début de cette deuxième guerre mondiale. A cet age, il est tout désigné pour partir combattre. Au 11 eme chasseur, il participa à la drole de guerre puis aux combats à partir du 10 mai 40. Fait prisonnier sur le front puis evadé 2 fois , il réussira avec brio et courage ,en se cachant de l'ennemi, à revenir chez lui .
Notre secrétaire d’état à la défense et aux anciens combattants, Hubert FALCO, a tenu à dire la reconnaissance de notre pays à l’ensemble des anciens combattants de la seconde guerre mondiale (ils représentent environ 250 000 individus), quels que soient leurs origines, leur lieux de résidence et les unités au sein desquelles ils ont combattu.
C’est un geste d’hommage que nous rendons envers ceux qui ont combattu pour notre liberté.
Au nom du secrétaire d’état à la défense et aux anciens combattants, un diplôme d’honneur à été remis à Georges.
Jean –François BARBIER
Pour toutes les années et heures de bénévolat passées pour le bien de tous, il a été remis le 11 novembre 2010 à Jean –François BARBIER un diplôme d’honneur des collectivités.
Ce diplôme est remis bien tardivement , car cet homme discret, impliqué à présent dans les restos du coeur, a toujours reporté cette date jusqu’à aujourd’hui.
En 1977, Jean –François BARBIER achète, avec son épouse, un terrain dans notre hameau de SAINT VIVANT.
Venu habiter en 1978, il participe aux différentes manifestations, kermesses et expositions d’art pour récupérer de l’argent afin de restaurer notre chapelle St Hilaire.
Par ces actions, il est reconnu par ces pairs puisqu’il devient vice président de notre foyer rural présidé à l’époque par Michel GUILLAMIN.
Au printemps 1983, les élections municipales ont lieu.
Il est invité à se présenter avec Henry JACQUET le maire de Saint Vivant de l’époque.
Il est le premier surpris de son élection comme conseiller municipal.
Jusqu’en 2008, il participe activement à cette nouvelle affectation, puisqu’en 1989, il devient à son tour 1er adjoint de Pierre MONTI et en 1995 de Pierre ARDIOT.
Par ces actions, il est reconnu par ces pairs puisqu’il devient vice président de notre foyer rural présidé à l’époque par Michel GUILLAMIN.
Au printemps 1983, les élections municipales ont lieu.
Il est invité à se présenter avec Henry JACQUET le maire de Saint Vivant de l’époque.
Il est le premier surpris de son élection comme conseiller municipal.
Jusqu’en 2008, il participe activement à cette nouvelle affectation, puisqu’en 1989, il devient à son tour 1er adjoint de Pierre MONTI et en 1995 de Pierre ARDIOT.
En 2001, il assure également la Vice-présidence de notre Syndicat des eaux de la Région de DOLE.
Durant ces années, je résumerais les actions entreprises, avec les différents conseils municipaux, sur notre chapelle de ST Vivant et autre délibération concernant St Vivant.
1984 : restauration de la porte de la chapelle
1985 : réfection façade et contreforts
1987 : réfection toiture et clocher
1990 : début des transports scolaires biarne/st vivant.
Une subvention est demandée au département pour indemniser les parents qui utilisent leur véhicule pour amener leurs enfants à l’école. A cette époque, le trajet Biarne/St vivant est de 4 Kms par parcours (voir délibération).
1991 : Le RPI Biarne/Jouhe est créé. Quel casse tête pour organiser les horaires et satisfaire tout un chacun.
1992 : électrification de la chapelle et restauration des 5 statues.
Diverses demandes de sécurisation du carrefour N5/Sortie de ST Vivant sont faites aux services de l’équipement ; sans résultat depuis ces années.
1993 : assainissement de la chapelle
1997 : plaques de rue et n° de maisons pour nos villages
2002 : désengagement de Biarne et ST Vivant pour un assainissement collectif avec Billey, Sampans et Monniéres.
2003 : Réfection du mur du cimetière et du pignon d’entrée.
2007 : Restauration du vitrail. Cette restauration a, en partie, été financée par de l’argent collecté durant les manifestations des années 80.
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